Une vision on peut dire très claire de la situation par le président russe Vladimir Poutine :
Nous en avons parlé depuis longtemps. Je crois que cette crise migratoire était absolument prévisible. Si vous vous en souvenez, la Russie, votre serviteur et moi-même en particulier, ont déjà parlé, à plusieurs reprises, il y a plusieurs années, des grands problèmes auxquels l'Europe aurait à faire face. Si nos homologues occidentaux poursuivaient leur politique étrangère erronée, comme je l'ai toujours dit, en particulier dans les régions du monde musulman, dans les régions du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord qu'ils mènent jusqu'à présent.
De quelle politique s'agit-il ? Nous parlons de la politique des standards qui sont imposés, au mépris des particularités historiques, religieuses, nationales et culturelles de ces régions. C'est avant tout bien sûr, la politique de nos partenaires américains. Et l'Europe poursuit aveuglément cette politique, dans le cadre de ses soi-disant obligations en tant qu'allié. Et c'est ensuite elle, qui en porte le fardeau. Je m'étonne aujourd'hui que certains médias américains critiquent l'Europe, pour sa dureté excessive face aux migrants. Mais les Etats-Unis n'ont pas à subir un tel afflux migratoire. Quant à l'Europe qui suit aveuglément les instructions américaines, elle porte maintenant un lourd fardeau. Je n'en parle pas pour vanter notre clairvoyance, et stigmatiser les courtes vues de nos partenaires, ou dans le but d'offenser quelqu'un. Nous devons comprendre ce qu'il faut faire ? Et que faut-il faire ? La réponse est très simple : tout d'abord, nous devons ensemble, et je veux le souligner, nous devons ensemble lutter contre le terrorisme et l'extrémisme de tout type, par anticipation dans les pays en difficulté. Ce problème clé doit être résolu avant toute chose, parce que sans ce pas, on ne pourra progresser. Comment obtenir des résultats dans les régions contrôlées par Daesh ? C'est impossible.
Nous en avons parlé depuis longtemps. Je crois que cette crise migratoire était absolument prévisible. Si vous vous en souvenez, la Russie, votre serviteur et moi-même en particulier, ont déjà parlé, à plusieurs reprises, il y a plusieurs années, des grands problèmes auxquels l'Europe aurait à faire face. Si nos homologues occidentaux poursuivaient leur politique étrangère erronée, comme je l'ai toujours dit, en particulier dans les régions du monde musulman, dans les régions du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord qu'ils mènent jusqu'à présent.
De quelle politique s'agit-il ? Nous parlons de la politique des standards qui sont imposés, au mépris des particularités historiques, religieuses, nationales et culturelles de ces régions. C'est avant tout bien sûr, la politique de nos partenaires américains. Et l'Europe poursuit aveuglément cette politique, dans le cadre de ses soi-disant obligations en tant qu'allié. Et c'est ensuite elle, qui en porte le fardeau. Je m'étonne aujourd'hui que certains médias américains critiquent l'Europe, pour sa dureté excessive face aux migrants. Mais les Etats-Unis n'ont pas à subir un tel afflux migratoire. Quant à l'Europe qui suit aveuglément les instructions américaines, elle porte maintenant un lourd fardeau. Je n'en parle pas pour vanter notre clairvoyance, et stigmatiser les courtes vues de nos partenaires, ou dans le but d'offenser quelqu'un. Nous devons comprendre ce qu'il faut faire ? Et que faut-il faire ? La réponse est très simple : tout d'abord, nous devons ensemble, et je veux le souligner, nous devons ensemble lutter contre le terrorisme et l'extrémisme de tout type, par anticipation dans les pays en difficulté. Ce problème clé doit être résolu avant toute chose, parce que sans ce pas, on ne pourra progresser. Comment obtenir des résultats dans les régions contrôlées par Daesh ? C'est impossible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire