Gregory Raspoutine : Conclusion (5)



Couverture
Gregory Raspoutine était un symbole de la paysannerie orthodoxe russe, un bouc émissaire utile pour ceux qui voulaient prendre le pouvoir et dont le slogan était «En diabolisant vos ennemis, tout ce que vous faites est justifié." Ses meurtriers symbolisaient "la trahison, la lâcheté et la tromperie», selon les mots du martyr empereur Nicolas II. Beaucoup ont calomnié la famille impériale et donc aussi Gregory Raspoutine.
Par Gregory Raspoutine, nous voyons exactement qui étaient les ennemis de la Russie et des idéaux de Saint Russie : tous ceux qui croyaient et propageaient les calomnies sur lui et la famille impériale. Le fait que beaucoup d'entre eux étaient des membres traîtres et jaloux de la famille Romanov et d'autres aristocrates millionnaires ne fait aucune différence. Le fait même que, parmi ceux-ci étaient la plupart des généraux ainsi que les membres supérieurs du clergé comme George Shavelsky. 
Il n'y a de secret pour personne que Gregory Raspoutine avait un don de guérison que la science médicale ne pouvait jalousement reconnaître sans comprendre, c'est un fait de l'histoire. Il avait la capacité de guérir le tsarévitch Alexei, qui aurait pu devenir le plus grand, le plus miséricordieux et le plus sage de tous les tsars russes, C'est un fait de l'histoire aussi. Qu'il était un homme pieux, de prière, de pèlerinage à Jérusalem et les lieux saints de la Russie, qui connaissaient très bien les Saintes Écritures, la Vie des Saints et des services orthodoxes est un fait de l'histoire encore.  Qu'il a fait plusieurs prophéties sur l'avenir de la Russie, le tsarisme, son propre assassinat et l'avenir du monde, est un fait de l'histoire une nouvelle fois. Gregory Raspoutine connaissait le prix de la souffrance, à la fois morale et physique.
S'il était innocent, alors les souffrances indicibles après Décembre 1916 sont logiques. Le joug étranger bolchevique et ses millions de victimes, l'assassinat de l'Oint de Dieu, la seconde invasion allemande qui a commencé à la fête oubliée de tous les saints des terres russes en Juin 1941, la prise de Vienne et de Berlin le jour de St George en 1945...  ce qui aurait pu se produire, sans ces sacrifices comparables, en 1917, sous la direction du tsar Nicolas II, les fléaux de l'alcoolisme, l'avortement, la corruption et le divorce après 1945, l'effondrement de ce qui était effectivement l'Empire russe en 1991 et aujourd'hui les tourments en Ukraine font partie du chemin long et lent de repentance encore en cours de 100 ans après 1916. La fin à notre souffrance n'est pas encore venu...
ArchiPrêtre Andrew Philips,
Orthodox England Event,

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