Evita Peron, femme du général argentin
La momification est bien souvent une opération de magie noire. On se souvient du cas de la femme du dictateur argentin, le général Peron. Elle mourut le 26 juillet 1952. Son mari fit embaumer son corps. Il était éperdument épris de sa femme que l'on a appelée "la madonne des sans logis", lorsqu'elle mourut d'un cancer (elle ne pesait plus que 32 kilos), elle était considérée comme une sainte.
En 1955, le général Peron fut renversé par l'armée qui séquestra le cadavre d'Evita. Le corps fut caché dans un premier temps dans les sous sols d'un cinéma afin de le soustraire à la dévotion de la foule. Il fut ensuite transféré chez le chef des services d'information de la marine, le lieutenant colonel, Carlos Moori Koenig. Celui ci tomba littéralement amoureux de la dépouille qu'il installa dans son bureau. Il versa peu à peu dans la folie et fut accusé de nécrophilie. Il est probable qu'un démon, une larve se soit manifesté partir des résidus psychiques émanés du cadavre. Ce genre de démon agit comme une ventouse en obsédant le psychisme des vivants. Le corps d'Evita Peron fut alors confié au colonel Hector Lopez Cabanillas qui se sentit lui aussi fasciné par cette dépouille.
Il eut recours au clergé et le corps d'Evita Peron fut transféré dans le plus grand secret au Vatican. Le corps est revenu en Argentine en 1974. Il a continué à exercer son pouvoir de fascination. Le portrait d'Evita est vendu à un nombre incroyable d'exemplaires pour figurer dans les demeures argentines. Des marques de produit à son nom sont lancées qui séduisent le public, tels des cosmétiques. Cette histoire tend à prouver que les démons ne sont pas étrangers à tout ce qui advient dans la vie post-mortem.
Pour en revenir à la question de ce qui se passe au moment de la mort, il faut aussi mentionner les cas de suicides si fréquents de nos jours, et auxquels les influences démoniaques ne sont pas étrangères. le suicide est une fausse mort. Les suicidés vont multiplier les coups d'ongles sur les vitres, les craquements de meubles. L'âme en peine va errer dans un labyrinthe obscur.
A la mort d'un homme, le corps physique se détache d'abord. On dit alors que l'âme se réfugie dans le coeur pour échapper aux attaques de larves. Le double irait se disloquer trois jours plus tard. Autrefois, quand les prêtres catholiques avaient encore connaissance de ces questions, on disait également que l'âme mettait trois jours à quitter le corps. Les morts faisaient l'objet d'une prière constante durant ce temps..
A suivre..
Tiré du site aujourd'hui disparu de Mr Kraiplin, de qui j'ai eu la bonne idée d'en conserver les archives par écrit..
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