Nos organismes trop nourris vont émettre à la mort une odeur nauséabonde, tandis que les saints demeurent avec un corps parfumé et florissant dans la vie ainsi qu'après la mort. C'est une chose merveilleuse ; nous pouvons détruire notre corps, en étant censé le construire, tandis qu'en le détruisant, les saints le construisent ! Ils en obtiennent des grâces divines en leurs âmes, mais aussi un parfum qui émane de leur corps.
Frères ! Le problème est le but de notre vie. Nous devons mortifier notre corps avec ses nombreuses passions, ou nos passions charnelles, par l'abstinence, le travail, la prière, et non l'animer de ses passions à travers les friandises, la satiété et la paresse.
Extrait de Honey and Hemlock,
de John Sanidopoulos,
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