Satan derrière l'état islamique..


Palmyre en Syrie, avant... après...

Les attaques de Bruxelles, de Paris, les tentatives et viols de femmes dans les villes en Allemagne et en Europe du Nord lors de la Saint Sylvestre, obéissent à un but : Eradiquer le Christianisme dans le monde en mettant à terre leurs derniers vestiges déjà si diminués.

Dans les cas cités en Europe, le caractère strictement religieux n'apparaît pas clairement, les attaques ciblant les citoyens ordinaires sans discrimination.

Au Moyen Orient cependant, le moteur religieux islamique se révèle pleinement. Le monastère Saint Elias, le plus ancien d'Irak, a été ainsi détruit par l'EI, le groupe terroriste qui se revendique du nom de Mohammed, visant le Christianisme et désirant éteindre toute dernière trace de culture, y compris païenne (destruction de la ville mythique en Syrie de Palmyre, et du plus grand Bouddha du monde en Afghanistan).

Le prêtre catholique Paul Thabit Habib, chef de l'église actuellement en exil à Erbil, a déclaré : "Notre histoire chrétienne à Mossoul est en train d'être anéantie de manière barbare. Nous assistons à une tentative de nous expulser d'Irak et à éliminer notre existence dans ce pays".

Les dévots intransigeants de l'Islam, ont fait de Mossoul leur capitale dans le nord de l'Irak. Il y avait des ruines vieilles de 1400 ans, préservées comme des trésors archéologiques. Bien qu'ils n'aient aucune signification religieuse ou civilisation, ils ont été dynamités et pulvérisés au nom de la religion islamique.

Le musée assyrien de Mossoul et les ruines de Palmyre sont les plus connues d'un total de plus de 100 sites archéologiques démolis par l'Etat Islamique. Des tombeaux, des églises et des temples, catholiques ou non, et même des mosquées de sectes islamiques, parmi celles qui divisent les musulmans, ont également été pulvérisés par les hérauts de la religion "de la paix" du Coran.

En août 2015, des fidèles du Coran recrutés par l'armée islamique ont détruit une partie du temple de Bel, le plus important de Palmyre. Cette ville était au 1er et 2ème siècle de notre ère, l'un des centres culturels les plus importants du monde antique, et le point de rencontre des caravanes de la route de la soie.

Un semaine plus tôt, les radicaux ont fait de même avec le temple dédié à Baal, un dieu païen à l'effigie du diable, que ses fidèles ont offert aux sacrifices humains et aux autres oblations perverses, telles que mentionnées dans la Bible.

Qu'est ce qui fait que ces fanatiques d'Allah, de Muhammad et du Coran arrivent à des extrêmes d'inhumanité, sacrifiant même leur propre vie ? On dirait un Islam sorti des grottes les plus sombres de l'enfer, piétinant ses complices même de moindre position.

Et cela se retourne contre le monde occidental, qui peut encore être appelé chrétien plus pour le passé que pour le présent, avec la même rage destructrice suprahumaine...

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