L'icône miraculeuse de la Vierge et son histoire


Nous sommes en 1600 ap. JC. Des moines du monastère sacré de Patmos arrivent à Leipzig, et construisent le monastère de le Panagia à un kilomètre du village.

Le temple est construit dans le style byzantin. Il se distingue par un dôme bas ; les arches irrégulières qui donnent un charme inhabituel, des fenêtres peu nombreuses et étroites.

Le passage des siècles a laissé l'église intacte, alors qu'elle a déserté, alors que les cellules des moines se sont désertées. Mais l'icône originale et miraculeuse de la Panagia a toujours été respectée.

Le fait que la Vierge garde le Christ non pas comme un enfant, mais suspendu mort sur la croix du martyr, donne l'originalité à l'icône. L'icône et l'église ont été nommées "Vierge de Charos" (charos = mort en grec).

Des foules de pélerins viennent le 23 août pour vénérer l'icône miraculeuse avec l'histoire suivante : 

En avril 1943, la piété d'une jeune fille lui fit placer des lys blancs devant l'icône. Ils se sont desséchés bien ^sur. Mais en juillet, les lys séchés ont commencé à devenir juteux, et en fait, à l'approche de la fête du 23 août, ils sont sortis pour faire des bourgeons musqués, complets le jour de la fête.

Ce miracle se produit depuis. Et il est offert comme une bénédiction de la Bienheureuse Vierge Marie à chaque âme dévouée, mais en même temps comme un point de discorde pour les incroyants, qui tout en pointant du doigt les types de lys, tentent de l'expliquer avec des interprétations logiques.


Et pourtant, la Vierge Marie , par grâce, pour le bien des fidèles et pour les incroyants, continue son miracle. Et nous invite tous à épaissir l'armée de célébrants à y aller, pour mettre en perspective nos espoirs et nos visions.

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